• takk

     

    Parmi mes découvertes de l'année, cet album est probablement le plus surprenant. D'abord séduit par le packaging un peu rétro avec dos toilé, j'ai vite été conquis par la musique de ce groupe.

    Sigur Ròs est une formation Islandaise qui chante en hopelandais, une langue inventée pour l'occasion. Pour nous ça ne change pas grand-chose puisqu'on n'aurait de tout façon rien compris! A mi chemin entre pop éthérée et électro, ce groupe vise à émouvoir et ça marche. Grâce à des mélodies magnifiques qui demandent plusieurs écoutes avant d'être vraiment appréciées, il crée une ambiance propice à l'émotion et aux souvenirs. Un disque que je conseille d'écouter chez soi quand on est tout seul comme un Rémi!


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  • Bien, heu ben voilà, ça c'est mon bateau cet été. Bon, depuis je l'ai quand même reponté et j'ai bien dû passer quinze couches de vernis. Hélas, je me demande si j'arriverai un jour au bout de la rénovation de cette vieille dame.

    Comme je suis un homme de parole et que je tiens à voir ce bateau naviguer un jour, je m'engage à mettre mon Fireball à l'eau pour le mois de mai 2006! Ca me laisse encore un peu de temps, j'espère qu'il sera prêt d'ici là.


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  • Aaah, l'Iso... Le bateau qui m'a converti au dériveur! Dans la brise, c'est une vraie machine de guerre! Le seul bateau sur lequel j'ai eu l'occasion de tester le water-start (qui n'est théoriquement réalisable qu'en planche à voile, mais bon...) et sur lequel rester 30 secondes assis au même endroit sans bouger est synonyme de déssalage (pour les néophytes, ça veut dire que le bateau se retourne). Pierre-Yves, une grande idée que tu as eue en achetant ce bateau.

    Sur la photo, c'est le championnat d'Europe (donc du monde, puisqu'on n'en trouve qu'en Europe). Cette année, il aura lieu à La Rochelle, donc si tout se passe bien, Pierre-Yves et moi y serons (sous réserve que le mât reprenne sa forme initiale, ce qui n'est pas gagné). Sinon, je le ferai en Spice, un bateau encore un peu plus extrême et instable!


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  • Me voici dans ce grand pôle de la voile internationale qu'est le Luc Yacht Club (comprenez école de voile de Luc sur Mer). On me voit ici donnant un cours à de jeunes enfants mais ça marche aussi avec les plus vieux(dans la limite du raisonnable: passé 70 ans, les gens ont du mal à grimper dans les bateaux), donc n'hésitez pas à venir apprendre à naviguer en cata ou en dériveur, ça me donnera peut-être du travail pour cet été.

    Au delà de mon métier de moniteur, je passe autant de temps que possible à naviguer, de préférence en dériveur (420, Iso...) même si depuis que j'ai acheté mon propre bateau (un magnifique Fireball classique en bois dont je n'arrive pas à finir la rénovation) j'ai un peu moins de temps à passer sur l'eau.


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  • Me voilà donc, Monsieur Adrian, accompagné de mon chien légendaire. Il faut savoir que cet animal, produit de l'union incongrue entre un teckel et un labrador, est unique au monde. Rares sont les gens qui parviennent à s'habituer à son physique hybride. Quoi qu'il en soit, la bête fêtera bientôt ses 16 ans, ce qui est plutôt honorable.

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