• Le front de mer à Douvres, là où tout a débuté (je fais une entrée en matière accrocheuse pour vous laisser croire qu'il va y avoir un truc intéressant dans la suite).

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  • Sous prétexte que je fais des études d'anglais, je me suis retrouvé préposé aux commandes au café et au resto. Sans doute parce-que mon accent est irréprochable (laissez-moi y croire), les serveurs prenaient toujours un malin plaisir à m'embrouiller avec des questions aussi inutiles qu'incompréhensibles auxquelles je me contentais de répondre par un hochement de tête et un sourire débile (maintenir l'illusion de toujours comprendre ce qu'on nous dit, c'est essentiel pour prouver à l'autochtone qu'on n'est pas un bête touriste égaré mais un farouche aventurier très au fait des us et coutumes locales).

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  • On est resté un petit moment à s'extasier sur cette nouvelle preuve du bon goût Britannique. Vous ne rêvez pas, c'est bien la vitrine d'une boutique consacrée aux authentiques nains de jardins Anglais.

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  • Pourquoi ressent-on systématiquement le besoin irrépressible de s'aventurer sur les pontons qui s'avancent au milieu des eaux alors que par définition ce sont des impasses? Vous avez quatre heures, à vos stylos.

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  • Notre hôtel. Afin de ne pas être indécent, je préfère taire le prix d'une nuit là-bas.

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