• Je ne vais pas créer un nouveau thème spécial littérature, ça n'en vaudrait pas la peine car je dois bien reconnaître que je ne suis pas un gros consommateur de livres.

    Je voulais quand même vous parler un peu de la bonne surprise qu'a été ce bouquin pour moi. J'étais en train de déambuler dans les rayons de la fnac, à la recherche d'un hypothétique pavé passionnant (éternel naïf que je suis) qui m'aurait distrait pendant mes nombreuses périodes de temps libre, me détournant ainsi de mon coûteux passe-temps: acheter des CD. Par un heureux hasard, j'ai lu furtivement le mot "désinvolture". Mon sang n'a fait qu'un tour, je savais que ce livre était pour moi avant même d'en avoir lu la quatrième de couverture.

    C'est curieux de se retrouver autant dans un bouquin. J'imagine que l'auteur doit être un grand contemplatif, un peu comme moi, avide de ces petits détails fugaces qui rendent le quotidien délirant. Il y a quelques trouvailles dans ce "traité" qui mériteraient de passer à la postérité (dès les premières pages, les chauves-souris de cinémathèque m'ont particulièrement plu).

    Le style subtil et acerbe de Grozdanovitch vaut vraiment le coup d'oeil. En plus le livre a été réédité et est maintenant disponible à moins de 6 euros (que demande le peuple?!).


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  • Ca commençait pourtant très bien. Cet après-midi, je me suis mis en tête de me faire une bonne ballade pour prendre l'air. Petit passage par la plage où je rencontre quelques amis. Comme la lumière est bonne, j'en profite pour faire quelques photos.

    Et puis je fais un choix discutable. Probablement grisé par toutes les belles images que je viens de voir, je crois bon de continuer en sillonnant la campagne, à l'affût du paysage parfait. Mauvaise idée puisqu'une fois bien perdu au milieu des champs, je me fais surprendre par une averse vicieuse. En moins d'un quart d'heure, je me retrouve trempé jusqu'aux os (c'est une image, en réalité l'eau n'a pas franchi ma barrière épidermique), marchant comme un naze sous la pluie battante (ah oui, parce-que pour ajouter au côté pathétique de ma situation, le vent a le bon goût de souffler aux alentours de 7 Beaufort ces temps-ci).

    Viveuh la Normandieuh et ses cieux capricieux.


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  • Car faire des photos réussies de Marion est un véritable exploit, je me contente de mettre une des nombreuses photos ratées; de toute façon Marion ne la verra jamais, pas de raisons de s'en priver!


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  • L'un est parti à Nice, l'autre à Paris, ils ne s'étaient pas vus depuis des mois.

    Omid et Pierre, seul contact physique autorisé par Pierre, en exclusivité sur ce blog!


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  • Marion, assise à la place du mort dans la vieille Merco du Sieur Omid. Encore une soirée où on aura écouté les 2be3 à fond dans le centre ville, les fenêtres ouvertes pour en faire profiter la rue, sans pour autant se faire huer. Comme quoi les gens de Caen sont très tolérants.

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